Blockchain, métaverse, cryptomonnaie, NFT, machine learning, OCR ou encore RPA… Nous avons tous à un moment dans notre vie entendu voire discuté avec nos proches autour d’un de ces sujets. Les nouvelles technologies occupent de plus en l’espace médiatique en raison de leurs prouesses techniques et de leur potentiel. Force est de constater, au XXIè siècle, ne serions-nous pas tous devenus un peu geeks ?
Une histoire qui commence par un manque d’inspiration…
Pour être honnête, j’ai eu peine à trouver un sujet qui vaille le coup d’écrire un article.
Pour m’aider à trouver l’inspiration, j’ai discuté avec plusieurs de mes collègues sur des sujets qui m’inspirent. Ces sujets sont notamment listés dans l’introduction. Mon choix s’était arrêté sur le métaverse, un hot topic du moment qui fait couler beaucoup d’encre. Mais avec du recul, Eric Ravenscraft chez Medium vous en parlera mieux que moi.
C’était sans compter sur notre Louis-Alexandre Louvet national qui exprima la phrase qui m’a tout de suite inspiré : “Finalement au XXIè siècle, nous n’avons plus d’autre choix que d’être tous un peu geeks”.
En voilà une idée intéressante. Sommes-nous vraiment tous « un peu geeks » au XXIè siècle ?
Geek un peu, beaucoup, passionnément ?
Je me rappelle encore de cette période où être qualifié de geek était péjoratif. La vision que nous partagions dans l’inconscient collectif était celle d’une personne prenant peu soin d’elle-même, constamment devant son écran à écrire des lignes de codes ou jouer aux jeux vidéos. Et pourtant aujourd’hui, le “geek” est plutôt perçu comme une personne disposant de capacités techniques profondes sur des sujets technologiques, souvent avec les poches profondes.
Personnellement, je ne me suis jamais considéré comme geek. N’ayant aucune formation dans les domaines de l’IT, seule ma curiosité me pousse à découvrir de nouveaux outils technologiques du moment ou en devenir. Un atout non négligeable il est vrai pour un consultant dans le secteur de s technologies. Néanmoins, je remarque que de plus en plus de personnes prennent ces sujets technologiques à bras le corps, puisque ces derniers s’appliquent aussi bien à une DSI qu’à un département commercial ou marketing.
Personnellement, les sujets les plus énoncés dans mes discussions avec mes proches ou mes clients sont souvent en rapport avec de l’automatisation. Scraping et structuration de données automatisé, mise à jour de base de données automatisée, transfert de données automatisé, reporting automatisé… Et ces discussions me ravissent. Pourquoi ?
- Premièrement, parce qu’elles stimulent mon cerveau, qui pioche dans toutes les compétences acquises au cours de mes expériences pour apporter des éléments de réponse lors de ces échanges ;
- Deuxièmement, parce qu’elles me permettent d’acquérir un nouveau prisme de réflexion centré autour du métier de mes interlocuteurs, et de leur réflexion d’expert ou de néophyte ;
- Troisièmement, parce que l’automatisation, j’aime tout simplement ça. Et oui, chez moi, même le passage de l’aspirateur est automatisé…
Consultant en technologies, un métier de geek passionné
À ISLEAN, nous avons la chance de travailler avec des personnes issues de formations différentes – entrepreneurs, ingénieurs, financiers… Chacun apporte sa pierre à l’édifice sur des sujets techniques. Le trait commun à tous ? Cette culture de la technologie que nous partageons et qui nous pousse à trouver toujours plus de solutions pour nos clients.
Bien sûr, nous nous appuyons aussi sur des experts qui ont des connaissances pointues sur ces sujets technologiques. Mais c’est notre caractère qui nous pousse à faire une veille permanente sur toutes les innovations mises en avant tout en conservant une ambition commune : Créer demain, maintenant.